Les taxes pour les PME

Créer une entreprise nécessite le soulèvement d’un certain fonds. Dès la création de l’entreprise en effet, il est indispensable que l’entrepreneur s’acquitte des frais d’immatriculation, indique le nom de sa société, fasse les démarches nécessaires pour le protéger, procède à l’achat d’un nom de domaine pour sa visibilité sur la toile…

Une fois que votre PME est créée, il y a les taxes auxquels vous allez vous acquitter régulièrement pour que vous soyez en règle vis-à-vis de l’État.

Il y l’imposition sur les bénéfices. Une PME s’acquitte généralement de l’impôt sur les sociétés ou IS. Le taux d’imposition est de 33% environ quand les bénéfices de l’entreprise sont au-delà de 38 120 euros HT. Si c’est inférieur à ce montant, le taux d’imposition est de 15%.

Pour l’IS, des exonérations d’impôt peuvent être appliquées pendant la première à la 5e année de démarrage de l’entreprise. Après, il y aura un abattement sur les quelques années suivantes. Le montant de cet abattement est en fonction de la durée de l’exonération d’impôt dont l’entreprise a bénéficié.

La contribution économie territoriale (CET) inclut la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises et la cotisation foncière des entreprises.

Parmi les cotisations obligatoires pour les PME, il y a encore la taxe sur la valeur ajoutée ou TVA.

Les nouvelles PME ont le choix entre l’application de la TVA et la franchise de TVA.

La franchise de TVA est accessible si la nouvelle PME présente un chiffre d’affaires ne dépassant pas 82 200 euros HT. Cette franchise consiste en la possibilité de ne pas facturer de TVA aux clients. Par contre, l’entreprise ne pourra pas récupérer cette TVA sur les achats.

Après, il y a des taxes supplémentaires selon l’infrastructure et les services de l’entreprise : les bureaux, les véhicules, les formations…

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